7 erreurs à éviter absolument pour éviter les crises d’angoisse

7 erreurs à éviter absolument pour éviter les crises d’angoisse

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Les crises d’angoisse, également connues sous le nom d’attaques de panique, peuvent être extrêmement déstabilisantes et invalidantes pour ceux qui en souffrent. Bien que ces épisodes intenses d’anxiété soient courants dans les troubles anxieux, il existe des erreurs fréquentes qui peuvent aggraver la situation. Dans cet article, nous allons explorer les 7 erreurs à éviter absolument pour prévenir l’angoisse et gérer efficacement les crises d’angoisse ou une crise de panique. En comprenant ces pièges courants, vous serez mieux équipé pour faire face à ces moments difficiles et réduire leur impact sur votre vie quotidienne.

Quelles sont les erreurs courantes lors d’une crise d’angoisse ?

Ignorer les signaux précurseurs d’une crise

L’une des erreurs les plus fréquentes lors d’une crise d’angoisse est d’ignorer les signaux précurseurs. Ces montées de frayeur ne surviennent généralement pas sans avertissement. Il est capital d’apprendre à reconnaître les signes avant-coureurs qui peuvent indiquer qu’une crise se profile et traiter les causes profondes. Ces signaux peuvent inclure une augmentation de la fréquence cardiaque, des sueurs, une sensation de malaise ou une tension musculaire après une activité physique trop intense comme le powerbuilding. En étant attentif à ces symptômes, vous pouvez prendre des mesures préventives pour éviter que la crise ne s’intensifie. Ignorer ces signes peut conduire à une escalade rapide de l’anxiété, rendant la gestion de la crise beaucoup plus difficile.

Lutter contre les symptômes au lieu de les accepter

Une autre erreur courante est de lutter contre les symptômes au lieu de les accepter. Lorsqu’une crise d’angoisse survient, il est naturel de vouloir combattre les sensations désagréables. Cependant, cette lutte peut paradoxalement intensifier l’anxiété. Au lieu de cela, il est préférable d’accepter les symptômes comme une réaction temporaire de votre corps. Cette acceptation peut aider à réduire la peur associée à la crise et à diminuer son intensité. En reconnaissant que ces indices, ces manifestions, bien que désagréables, ne sont pas dangereux, vous pouvez mieux les gérer et réduire leur impact émotionnel.

Éviter les situations qui déclenchent l’angoisse

L’évitement des situations qui déclenchent l’angoisse est une erreur fréquente mais compréhensible. Bien que cela puisse sembler être une solution à court terme, l’évitement systématique peut renforcer l’angoisse à long terme. En évitant constamment les situations anxiogènes, vous ne donnez pas à votre cerveau l’opportunité d’apprendre que ces situations ne sont pas réellement dangereuses. Cela peut conduire à un cercle vicieux où l’appréhension s’intensifie et les situations évitées deviennent de plus en plus nombreuses. Au lieu de cela, il est important d’affronter progressivement ces situations, avec le soutien approprié, pour développer une meilleure tolérance à l’anxiété. Voici des exemples typiques de situations angoissantes à éviter :

  • Prendre la parole en public
  • Être confronté à un examen ou une évaluation
  • Conflits interpersonnels (Passer un examen ou être évalué sur ses compétences. )
  • Perdre le contrôle sur ses émotions
  • Surmenage et surcharge de travail
  • Problèmes de santé ou hospitalisation
  • Voyager seul ou dans des endroits inconnus

Comment éviter de compter uniquement sur les médicaments pour gérer l’angoisse ?

Les limites des anxiolytiques dans le traitement à long terme

Il est important de comprendre les limites des anxiolytiques dans le traitement à long terme de l’angoisse. Bien que les médicaments comme le Brintellix, un anti-dérepresseur puissant, puissent offrir un soulagement rapide des symptômes, ils ne constituent pas une solution durable à eux seuls. Les anxiolytiques, en particulier les benzodiazépines, peuvent créer une dépendance et perdre de leur efficacité avec le temps. De plus, ils ne traitent pas les causes sous-jacentes de l’angoisse. Il est important de ne pas compter que sur les médicaments pour gérer les angoisses. Une approche plus équilibrée, combinant un traitement médicamenteux à court terme avec d’autres stratégies thérapeutiques, est généralement plus efficace pour gérer l’appréhension ou la frayeur à long terme.

L’importance d’une approche thérapeutique globale

Une erreur à éviter est de négliger l’importance d’une approche thérapeutique globale dans la gestion de l’angoisse. Les crises d’angoisse sont souvent le symptôme d’un problème plus profond qui nécessite une attention particulière. Une approche globale peut inclure la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), qui aide à identifier et à modifier les schémas de pensée et de comportement qui contribuent à l’angoisse. D’autres formes de psychothérapie, comme , l’hypnose, la thérapie d’exposition ou la pleine conscience, peuvent également être bénéfiques. En combinant ces approches avec des techniques de relaxation, une gestion du stress et des changements de mode de vie, vous pouvez développer une stratégie complète pour faire face à l’anxiété et prévenir les crises.

Les alternatives naturelles aux médicaments

Il est important de ne pas négliger les alternatives naturelles aux médicaments dans la gestion de l’angoisse. Bien que les anxiolytiques puissent être nécessaires dans certains cas, il existe de nombreuses options naturelles qui peuvent aider à réduire l’appréhension et à prévenir les crises. Ces alternatives incluent des techniques de relaxation comme la méditation, le yoga ou la respiration profonde. L’exercice régulier, une alimentation équilibrée et un sommeil suffisant (la nuit ou pendant une sieste) jouent également un rôle crucial dans la régulation de l’humeur et la réduction de l’anxiété. Des suppléments naturels comme la valériane, la passiflore ou le magnésium peuvent aussi avoir des effets bénéfiques, bien qu’il soit toujours recommandé de consulter un professionnel de santé avant de les utiliser.

Quels sont les erreurs à ne pas commettre pour stopper une crise d’angoisse ?

Essayer de contrôler sa respiration de manière forcée

Une erreur courante lors d’une crise d’angoisse est d’essayer de contrôler sa respiration de manière forcée. Bien que la respiration joue un rôle important dans la gestion de l’anxiété, tenter de la contrôler de façon trop agressive peut en réalité aggraver les manifestions. Lors d’une crise, il est fréquent de ressentir une sensation d’essoufflement, ce qui peut inciter à respirer plus rapidement ou plus profondément. Cependant, cette hyperventilation peut intensifier les sensations physiques désagréables et alimenter l’angoisse. Au lieu de cela, il est préférable d’adopter une approche plus douce, en se concentrant sur une respiration lente et naturelle, sans forcer. Des techniques comme la respiration diaphragmatique ou la respiration carrée peuvent être utiles, mais elles doivent être pratiquées régulièrement en dehors des périodes de crise pour être efficaces. Voici les étapes pour la respiration diaphragmatique :

Se concentrer excessivement sur les sensations physiques

Une autre erreur à éviter lors d’une crise d’anxiété est de se concentrer excessivement sur les sensations physiques. Pendant une attaque de panique, il est naturel d’être hyper-conscient des changements corporels, tels que l’accélération du rythme cardiaque, les sueurs ou les tremblements. Cependant, cette focalisation intense peut amplifier ces sensations et augmenter l’anxiété. Au lieu de cela, il est bénéfique de tenter de détourner doucement son attention de ces symptômes physiques. Cela peut se faire en se concentrant sur l’environnement immédiat, en pratiquant une technique de pleine conscience, ou en s’engageant dans une activité simple qui détourne l’attention. Il est important de se rappeler que ces sensations, bien que désagréables, ne sont pas dangereuses et qu’elles passeront.

S’isoler complètement lors d’une crise

S’isoler complètement lors d’une crise d’angoisse est une erreur fréquente mais qui peut être contre-productive. Bien que l’instinct puisse pousser à se retirer pour gérer seul ces moments difficiles, l’isolement peut en réalité intensifier l’anxiété. Le soutien social joue un rôle important dans la gestion de l’anxiété. Avoir une personne de confiance à proximité peut apporter un sentiment de sécurité et de réconfort. De plus, partager ce que l’on ressent peut aider à relativiser la situation et à réduire l’intensité de l’angoisse. Il est donc important d’identifier à l’avance des personnes de confiance qui peuvent être présentes ou contactées lors d’une crise. Cela ne signifie pas nécessairement être entouré de beaucoup de monde, mais plutôt avoir un soutien adapté et rassurant.

Comment éviter d’aggraver les symptômes lors des crises d’angoisse ?

Ne pas céder à la panique face aux sensations physiques

Une erreur fréquente à éviter lors d’une crise d’angoisse est de céder à la panique face aux sensations physiques intenses. Les symptômes d’une crise d’anxiété, tels que les palpitations, la transpiration excessive ou les difficultés respiratoires, peuvent être effrayants et conduire à une spirale de panique. Il est essentiel de se rappeler que ces sensations, bien que désagréables, ne sont pas dangereuses en soi. Elles sont le résultat d’une réaction de “combat ou fuite” déclenchée par le système nerveux autonome. Au lieu de les interpréter comme un signe de danger imminent, essayez de les voir comme une réaction temporaire et normale de votre corps face au stress. Cette perspective peut aider à réduire la peur associée à ces sensations et à prévenir l’escalade de l’anxiété.

Éviter les pensées catastrophiques

Les pensées catastrophiques sont un piège courant lors des crises d’angoisse et peuvent considérablement aggraver les symptômes. Ces pensées exagèrent souvent la gravité de la situation ou anticipent le pire scénario possible. Par exemple, interpréter des palpitations cardiaques comme le signe d’une crise cardiaque imminente ou croire que la crise ne finira jamais. Il est crucial d’apprendre à reconnaître ces schémas de pensée et de les remettre en question. Une technique efficace consiste à évaluer objectivement la probabilité réelle de ces scénarios catastrophiques et à se rappeler des expériences passées où ces craintes ne se sont pas matérialisées. La pratique régulière de la restructuration cognitive, une technique de thérapie cognitivo-comportementale, peut être très utile pour développer cette capacité à long terme.

Ne pas fuir la situation déclenchante

Fuir la situation déclenchante lors d’une crise d’angoisse peut sembler être la réaction la plus naturelle, mais c’est une erreur qui peut renforcer l’anxiété à long terme. En fuyant, on envoie un message à son cerveau que la situation était réellement dangereuse, ce qui peut augmenter la probabilité de futures crises dans des situations similaires. Au lieu de cela, il est bénéfique d’essayer de rester dans la situation, si possible, jusqu’à ce que l’anxiété diminue naturellement. Cette approche, basée sur les principes de l’exposition, permet au cerveau d’apprendre que la situation n’est pas réellement menaçante. Bien sûr, cela peut être difficile et il est important de procéder progressivement, éventuellement avec le soutien d’un professionnel de santé mentale. L’objectif est de développer une tolérance croissante à l’anxiété et de réduire la fréquence et l’intensité des crises à long terme.

Quelles sont les erreurs à éviter dans la gestion quotidienne de l’angoisse ?

Négliger l’importance d’un mode de vie équilibré

Une erreur majeure dans la gestion quotidienne de l’appréhension est de négliger l’importance d’un mode de vie équilibré. Les habitudes de vie ne sont pas à négliger dans la régulation de l’anxiété et la prévention des crises d’angoisse. Un sommeil insuffisant ou irrégulier peut augmenter la vulnérabilité au stress et à l’anxiété. De même, une alimentation déséquilibrée, riche en sucres raffinés et en caféine, peut exacerber les symptômes d’anxiété. L’exercice physique régulier comme la course, le yoga ou l’aquabiking est également essentiel, car il aide à réduire le stress, améliore l’humeur et renforce la résilience face à l’anxiété. Il est important de créer une routine quotidienne qui inclut suffisamment de sommeil, une alimentation équilibrée, de l’exercice physique et des moments de détente. Ces habitudes de vie saines peuvent considérablement réduire la fréquence et l’intensité des crises d’angoisse.

Ne pas pratiquer de techniques de relaxation régulièrement

Une autre erreur courante est de ne pas pratiquer régulièrement des techniques de relaxation. Beaucoup de personnes attendent d’être en pleine crise d’angoisse pour essayer d’appliquer des méthodes de relaxation, ce qui peut s’avérer difficile et peu efficace dans le feu de l’action. La clé est de pratiquer ces techniques quotidiennement, même en l’absence de symptômes d’anxiété. Des méthodes comme la méditation de pleine conscience, la relaxation musculaire progressive, ou les exercices de respiration profonde sont plus efficaces lorsqu’elles sont intégrées à la routine quotidienne. Cette pratique régulière permet de développer des réflexes de relaxation qui seront plus facilement accessibles lors de moments de stress intense ou de crises d’angoisse. De plus, la pratique régulière de ces techniques peut aider à réduire le niveau général d’anxiété et à améliorer la capacité à gérer le stress au quotidien.

Ignorer l’impact du stress sur les crises d’angoisse

Ignorer l’impact du stress sur les crises d’angoisse est une erreur fréquente dans la gestion quotidienne de l’anxiété. Le stress chronique peut significativement augmenter la vulnérabilité aux crises d’anxiété et exacerber les symptômes anxieux. Il est crucial d’apprendre à identifier les sources de stress dans sa vie et de développer des stratégies efficaces pour les gérer. Cela peut impliquer d’apprendre à fixer des limites, à mieux organiser son temps, ou à déléguer certaines responsabilités. La pratique de techniques de gestion du stress, comme la thérapie cognitivo-comportementale ou la pleine conscience, peut être très bénéfique. Il est également important de reconnaître que certains événements de vie majeurs, comme un changement professionnel ou une perte, peuvent augmenter temporairement le risque de crises d’anxiété et nécessiter une attention particulière en termes de soins personnels et de soutien.

Comment éviter de mal interpréter les symptômes d’une crise d’angoisse ?

Confondre une crise d’angoisse avec une urgence médicale

Une erreur fréquente lors d’une crise d’angoisse est de la confondre avec une urgence médicale. Les symptômes d’une crise d’angoisse peuvent être si intenses et effrayants qu’ils sont souvent interprétés à tort comme les signes d’une crise cardiaque, d’un accident vasculaire cérébral ou d’une autre condition médicale grave. Cette mauvaise interprétation peut intensifier l’anxiété et conduire à des visites répétées aux urgences. Il est crucial d’apprendre à reconnaître les symptômes spécifiques d’une crise d’anxiété et de comprendre qu’ils ne sont pas dangereux en soi, bien qu’ils soient désagréables. Cela ne signifie pas qu’il faut ignorer tous les symptômes physiques, mais plutôt développer la capacité à distinguer une crise d’anxiété d’une véritable urgence médicale. Un suivi médical régulier peut aider à rassurer sur l’état de santé général et à mieux identifier les symptômes spécifiques à l’anxiété.

Sous-estimer l’intensité des symptômes ressentis

À l’inverse, sous-estimer l’intensité des symptômes ressentis lors d’une crise d’angoisse peut également être problématique. Certaines personnes, par peur d’être jugées ou par volonté de minimiser leur expérience, peuvent avoir tendance à sous-évaluer la gravité de leurs symptômes. Cela peut conduire à ne pas chercher l’aide nécessaire ou à ne pas prendre au sérieux l’impact de l’anxiété sur leur qualité de vie. Il est important de reconnaître que les crises d’angoisse sont des expériences réelles et intenses qui méritent attention et soin. Valider sa propre expérience et reconnaître l’impact significatif que ces crises peuvent avoir sur le bien-être quotidien est une étape importante dans le processus de guérison. Cela peut encourager à chercher un soutien approprié, que ce soit auprès de professionnels de santé mentale ou de groupes de soutien.

Ne pas reconnaître les différentes formes d’anxiété

Une autre erreur courante est de ne pas reconnaître les différentes formes d’anxiété. L’anxiété peut se manifester de diverses manières, et les crises d’angoisse ne sont qu’une forme parmi d’autres. Il existe différents types de troubles anxieux, comme le trouble panique, le trouble d’anxiété généralisée, les phobies spécifiques ou le trouble d’anxiété sociale. Chacun de ces troubles peut avoir des manifestations et des déclencheurs différents. Ne pas reconnaître ces différentes formes peut conduire à une gestion inadéquate de l’anxiété. Par exemple, les stratégies efficaces pour gérer une phobie spécifique peuvent différer de celles utilisées pour le trouble d’anxiété généralisée. Il est donc important de consulter un professionnel de santé mentale pour obtenir un diagnostic précis et un plan de traitement adapté à la forme spécifique d’anxiété vécue. Voici un résumé sur la liste des différentes formes d’anxiété :

  • Anxiété généralisée (TAG)
  • Anxiété sociale
  • Phobie spécifique
  • Trouble panique
  • Agoraphobie
  • Anxiété de séparation
  • Trouble obsessionnel-compulsif (TOC)
  • Anxiété liée à la santé (hypocondrie)
  • Anxiété liée au stress post-traumatique (PTSD)
  • Anxiété liée à la performance
  • Anxiété existentiel

Quelles sont les erreurs à ne pas faire pour prévenir les crises d’angoisse à long terme ?

Ne pas consulter un professionnel de santé mentale

Une erreur majeure dans la prévention à long terme des crises d’angoisse est de ne pas consulter un professionnel de santé mentale. Beaucoup de personnes tentent de gérer seules leur anxiété, soit par peur de la stigmatisation, soit en pensant que leurs symptômes ne sont pas assez graves pour justifier une aide professionnelle. Cependant, un spécialiste en santé mentale peut offrir un diagnostic précis, des stratégies de gestion adaptées et un soutien crucial dans le processus de guérison. Les psychologues et psychiatres sont formés pour traiter les troubles anxieux et peuvent proposer des thérapies efficaces comme la thérapie cognitivo-comportementale, qui a démontré son efficacité dans le traitement des crises d’anxiété. De plus, ils peuvent aider à identifier et à traiter d’éventuels troubles sous-jacents qui pourraient contribuer à l’anxiété.

Abandonner trop vite les stratégies de gestion de l’anxiété

Une autre erreur fréquente est d’abandonner trop rapidement les stratégies de gestion de l’anxiété. La gestion de l’anxiété et la prévention des crises d’angoisse sont des processus qui demandent du temps et de la persévérance. Il est courant de ressentir une certaine frustration si les résultats ne sont pas immédiats, mais il est crucial de persister. Les techniques de relaxation, la thérapie, les changements de mode de vie ou même les médicaments peuvent prendre du temps avant de montrer leur pleine efficacité. Il est important de donner à ces stratégies le temps de fonctionner et de les ajuster si nécessaire, plutôt que de les abandonner complètement. Un journal d’anxiété peut être utile pour suivre les progrès sur le long terme et rester motivé, même lorsque les améliorations semblent lentes ou subtiles.

Négliger l’importance du soutien social et familial

Enfin, négliger l’importance du soutien social et familial est une erreur significative dans la prévention à long terme des crises d’angoisse. L’isolement social peut exacerber l’anxiété et augmenter le risque de crises. Il est crucial de cultiver et de maintenir des relations de soutien avec la famille, les amis ou des groupes de soutien. Ces relations peuvent offrir un réconfort émotionnel, une perspective extérieure et une aide pratique lors des moments difficiles. De plus, partager ses expériences avec des personnes de confiance peut aider à réduire le sentiment de solitude souvent associé aux troubles anxieux. Il peut être bénéfique d’éduquer ses proches sur l’anxiété et les crises d’anxiété pour qu’ils puissent mieux comprendre et soutenir. La participation à des groupes de soutien pour personnes souffrant d’anxiété peut également être très bénéfique, offrant un espace pour partager des expériences et des stratégies avec d’autres qui comprennent ce que l’on vit.

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