[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » background_color= »#001951″ global_colors_info= »{} »][et_pb_row use_custom_gutter= »on » gutter_width= »2″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » width_tablet= » » width_phone= »90% » width_last_edited= »on|phone » custom_padding= »0px||||false|false » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » header_font= »Poppins|700||||||| » header_text_color= »#FFFFFF » header_font_size= »50px » header_line_height= »1.3em » header_font_size_tablet= »50px » header_font_size_phone= »40px » header_font_size_last_edited= »on|phone » global_colors_info= »{} »]
Syndrome d’Apnées Obstructives du Sommeil (SAOS)
[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » text_font= »Inter|||||||| » text_text_color= »#FFFFFF » text_font_size= »16px » link_text_color= »#00BC7A » global_colors_info= »{} »]
Le Syndrome d’Apnées Obstructives du Sommeil, couramment référé sous le sigle SAOS, représente l’une des pathologies du sommeil les plus courantes de notre époque. Caractérisé par des interruptions répétitives et temporaires de la respiration pendant le sommeil, le SAOS peut engendrer, non seulement une somnolence diurne excessive, mais également divers problèmes cardiovasculaires, neurologiques et métaboliques, renforçant ainsi la nécessité d’une prise en charge médicale efficace.
[/et_pb_text][et_pb_text module_class= »ljoptimizer » _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » text_font= »Inter|||||||| » text_text_color= »#FFFFFF » text_font_size= »16px » background_color= »#001951″ custom_margin= »30px||||false|false » custom_padding= »10px|10px|10px|10px|false|false » border_radii= »on|20px|20px|20px|20px » border_width_all= »2px » border_color_all= »#FFFFFF » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »]
Narcolepsie : Nutrition Vie professionnelle Siestes et pauses TILE TME Traitements Vie féminine FAQ
Autres pathologies : SAOS SJSR
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » custom_padding= »35px||35px||true|false » global_colors_info= »{} »][et_pb_row column_structure= »1_3,2_3″ use_custom_gutter= »on » gutter_width= »2″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » width_tablet= » » width_phone= »90% » width_last_edited= »on|phone » custom_padding= »0px||||false|false » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » sticky_position= »top » sticky_limit_bottom= »section » global_colors_info= »{} »][et_pb_code _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » global_colors_info= »{} »]
Qu’est-ce qu’un syndrome d’apnées obstructives du sommeil ?
[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » text_font= »Inter|||||||| » text_font_size= »16px » link_text_color= »#00BC7A » header_3_font= »Poppins|600||||||| » header_3_font_size= »34px » header_3_line_height= »1.4em » header_4_font= »Poppins|600||||||| » header_4_text_color= »#00bc7a » header_4_font_size= »25px » custom_padding= »|70px||70px|false|true » custom_padding_tablet= »|70px||70px|false|true » custom_padding_phone= »|20px||20px|false|true » custom_padding_last_edited= »on|phone » header_3_line_height_tablet= »1.4em » header_3_line_height_phone= »1.3em » header_3_line_height_last_edited= »on|desktop » global_colors_info= »{} »]
Pendant le sommeil, les passages d’air dans la gorge restent généralement dégagés pour faciliter la circulation de l’air vers les poumons, ce qui garantit une oxygénation optimale du sang.
Tout blocage des voies respiratoires, que ce soit au niveau nasal ou de la gorge (comme le voile du palais ou la langue), peut conduire à des ronflements. Ce blocage peut évoluer en apnée, une interruption totale ou partielle de la respiration qui dure au moins 10 secondes.
Pendant une apnée obstructive, le ronflement cesse, puis la personne reprend sa respiration de manière brusque, donnant l’impression qu’elle s’étouffe.
Si ces interruptions se répètent fréquemment durant la nuit, cela définit le syndrome d’apnées du sommeil.
Ce syndrome est diagnostiqué quand on observe plus de 10 apnées/hypopnées chaque heure de sommeil ou 5 apnées/hypopnées par heure associées à une grande fatigue en journée.
Il est jugé sévère si le taux dépasse 30 interruptions par heure de sommeil.
Cependant, la fatigue due au SAOS n’est pas aussi prononcée que celle causée par la narcolepsie.
De plus, avoir un excès de poids est un facteur de risque majeur pour le SAOS.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_3,2_3″ use_custom_gutter= »on » gutter_width= »2″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » width_tablet= » » width_phone= »90% » width_last_edited= »on|phone » custom_padding= »0px||||false|false » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » sticky_position= »top » sticky_limit_bottom= »section » global_colors_info= »{} »][/et_pb_column][et_pb_column type= »2_3″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » custom_padding= »||50px||false|false » border_radii= »on|20px|20px|20px|20px » box_shadow_style= »preset1″ box_shadow_color= »rgba(0,0,0,0.05) » global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » header_2_font= »Poppins|600||||||| » header_2_text_align= »center » header_2_text_color= »#FFFFFF » header_2_font_size= »40px » header_2_line_height= »1.4em » background_color= »#00bc7a » custom_padding= »35px|20px|35px|20px|true|true » header_2_font_size_tablet= »50px » header_2_font_size_phone= »35px » header_2_font_size_last_edited= »on|phone » border_radii= »off|||| » global_colors_info= »{} »]
Quelles sont les conséquences d’un SAOS ?
[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » text_font= »Inter|||||||| » text_font_size= »16px » header_3_font= »Poppins|600||||||| » header_3_font_size= »34px » header_3_line_height= »1.4em » header_4_font= »Poppins|600||||||| » header_4_text_color= »#00bc7a » header_4_font_size= »25px » custom_padding= »|70px||70px|false|true » custom_padding_tablet= »|70px||70px|false|true » custom_padding_phone= »|20px||20px|false|true » custom_padding_last_edited= »on|phone » header_3_line_height_tablet= »1.4em » header_3_line_height_phone= »1.3em » header_3_line_height_last_edited= »on|desktop » global_colors_info= »{} »]
Lorsqu’une personne subit de nombreuses apnées au cours de sa nuit de sommeil, d’autant plus si elles durent jusqu’à une minute, son sommeil est grandement perturbé.
Ces apnées résultent en une sensation de :
- fatigue au lever,
- un sentiment de ne pas avoir bien dormi,
- souvent accompagné de maux de tête.
Durant la journée, elle peut rencontrer des problèmes de :
- concentration,
- de mémoire,
- d’irritabilité
- ressentir une grande somnolence.
Cette dernière augmente le risque d’accidents, que ce soit au travail ou sur la route.
À chaque apnée, le cerveau s’éveille brièvement de manière instinctive pour relancer la respiration. Cela signifie que le sommeil est constamment interrompu par ces micro-réveils, dont l’individu peut ne pas être conscient.
Cette perturbation empêche d’atteindre un sommeil profond et bénéfique. Se sentir fatigué après une nuit de sommeil, associé à un ronflement et une prise de poids, sont des symptômes typiques du syndrome d’apnées obstructives du sommeil. Une analyse du sommeil pendant une nuit permet de détecter ces apnées.
D’autre part, l’obstruction des voies respiratoires rend la respiration difficile, ce qui réduit l’oxygénation du sang. En conséquence, les apnées peuvent provoquer des changements dans le rythme cardiaque, la fréquence cardiaque et la tension artérielle. Cela augmente la charge de travail du cœur.
À long terme, cela accroît considérablement le risque de problèmes cardiovasculaires.
Par exemple, le risque d’infarctus du myocarde est multiplié par 8, et celui d’hypertension est quadruplé.
Il y a aussi une augmentation du risque de troubles cardiaques et de complications vasculaires cérébrales.
De plus, 60% des personnes atteintes de SAOS présentent un diabète ou une résistance à l’insuline. Cette dernière peut être identifiée grâce à un test d’hyperglycémie provoquée.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_3,2_3″ use_custom_gutter= »on » gutter_width= »2″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » width_tablet= » » width_phone= »90% » width_last_edited= »on|phone » custom_padding= »0px||||false|false » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » sticky_position= »top » sticky_limit_bottom= »section » global_colors_info= »{} »][/et_pb_column][et_pb_column type= »2_3″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » custom_padding= »||50px||false|false » border_radii= »on|20px|20px|20px|20px » box_shadow_style= »preset1″ box_shadow_color= »rgba(0,0,0,0.05) » global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » header_2_font= »Poppins|600||||||| » header_2_text_align= »center » header_2_text_color= »#FFFFFF » header_2_font_size= »40px » header_2_line_height= »1.4em » background_color= »#00bc7a » custom_padding= »35px|20px|35px|20px|true|true » header_2_font_size_tablet= »50px » header_2_font_size_phone= »35px » header_2_font_size_last_edited= »on|phone » border_radii= »off|||| » global_colors_info= »{} »]
Quel est le traitement du SAOS ?
[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » text_font= »Inter|||||||| » text_font_size= »16px » header_3_font= »Poppins|600||||||| » header_3_font_size= »34px » header_3_line_height= »1.4em » header_4_font= »Poppins|600||||||| » header_4_text_color= »#00bc7a » header_4_font_size= »25px » custom_padding= »|70px||70px|false|true » custom_padding_tablet= »|70px||70px|false|true » custom_padding_phone= »|20px||20px|false|true » custom_padding_last_edited= »on|phone » header_3_line_height_tablet= »1.4em » header_3_line_height_phone= »1.3em » header_3_line_height_last_edited= »on|desktop » global_colors_info= »{} »]
Le traitement par Pression Positive Continue (PPC) est la méthode préconisée. Ce système propulse de l’air sous pression via un dispositif compact, relié à un tuyau et un masque. L’objectif est de maintenir les voies respiratoires ouvertes pendant la nuit, éliminant ainsi les apnées et les ronflements.
Ce dispositif est discret, pratique et silencieux, évitant ainsi toute nuisance sonore pour l’utilisateur et son partenaire. Quant au masque, il peut être choisi nasal, buccal ou intégral (couvrant nez et bouche). Il est essentiel de le sélectionner pour son confort.
Habituellement, les bénéfices de la PPC sont palpables dès les premières nuits. Les utilisateurs se sentent revigorés, profitant d’un sommeil réparateur.
La Sécurité Sociale rembourse 65% du coût de la PPC, à condition d’une utilisation régulière – idéalement pendant toute la nuit ou au moins 4 heures. Le solde peut éventuellement être pris en charge par une mutuelle complémentaire.
Pour ceux qui ne tolèrent pas la PPC, d’autres solutions existent. Par exemple, l’utilisation nocturne d’un dispositif dentaire, ou orthèse d’avancée mandibulaire. Ce dernier est conçu sur mesure, après prise d’empreintes dentaires, et installé par un dentiste spécialisé. Ces dispositifs ont vu leur efficacité s’améliorer récemment, mais sont généralement déconseillés en cas de SAOS sévères.
La chirurgie au niveau de la gorge n’est plus recommandée en raison de sa douleur post-opératoire. Les interventions chirurgicales faciales restent rares. Cependant, en présence d’un excès de poids, il est crucial d’encourager la perte de poids. Parfois, cette démarche seule peut éliminer les apnées, rendant ainsi inutile le recours à la PPC.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure= »1_3,2_3″ use_custom_gutter= »on » gutter_width= »2″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » width_tablet= » » width_phone= »90% » width_last_edited= »on|phone » custom_padding= »0px||||false|false » global_colors_info= »{} »][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » sticky_position= »top » sticky_limit_bottom= »section » global_colors_info= »{} »][/et_pb_column][et_pb_column type= »2_3″ _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » custom_padding= »||50px||false|false » border_radii= »on|20px|20px|20px|20px » box_shadow_style= »preset1″ box_shadow_color= »rgba(0,0,0,0.05) » global_colors_info= »{} »][et_pb_text _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » header_2_font= »Poppins|600||||||| » header_2_text_align= »center » header_2_text_color= »#FFFFFF » header_2_font_size= »40px » header_2_line_height= »1.4em » background_color= »#00bc7a » custom_padding= »35px|20px|35px|20px|true|true » header_2_font_size_tablet= »50px » header_2_font_size_phone= »35px » header_2_font_size_last_edited= »on|phone » border_radii= »off|||| » global_colors_info= »{} »]
Le SAOS et les narcoleptiques
[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.22.0″ _module_preset= »default » text_font= »Inter|||||||| » text_font_size= »16px » link_text_color= »#00BC7A » header_3_font= »Poppins|600||||||| » header_3_font_size= »34px » header_3_line_height= »1.4em » header_4_font= »Poppins|600||||||| » header_4_text_color= »#00bc7a » header_4_font_size= »25px » custom_padding= »|70px||70px|false|true » custom_padding_tablet= »|70px||70px|false|true » custom_padding_phone= »|20px||20px|false|true » custom_padding_last_edited= »on|phone » header_3_line_height_tablet= »1.4em » header_3_line_height_phone= »1.3em » header_3_line_height_last_edited= »on|desktop » global_colors_info= »{} »]
Les recherches indiquent qu’approximativement 20% des personnes atteintes de narcolepsie souffrent également de SAOS. Cliniquement, il n’y a pas de distinction notable entre les narcoleptiques ayant un SAOS et le reste de la population. Cependant, il est observé que les narcoleptiques ont tendance à être en surpoids, malgré une consommation alimentaire similaire à la moyenne. Leur Indice de Masse Corporelle (IMC) dépasse généralement 25 Kg/m², soit un indice supérieur à la norme. De plus, leur métabolisme au repos s’avère plus bas que la moyenne.
Cette prise de poids varie d’un patient à l’autre, étant parfois plus prononcée chez ceux dont la narcolepsie s’est déclarée subitement. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette tendance à l’embonpoint :
- Diminution de l’activité physique : La somnolence réduit l’activité physique, ce qui entraîne une réduction de la dépense énergétique.
- Déficience en orexine : L’orexine, un neuropeptide cérébral, régule le sommeil et la vigilance. Son manque cause la somnolence chez les narcoleptiques. De plus, elle influence le comportement alimentaire. Les narcoleptiques peuvent ainsi avoir des compulsions alimentaires, manger compulsivement, ou ressentir un besoin incessant de manger, souvent perçu comme un moyen de combattre la somnolence.
- Dysfonctionnement hormonal : Les niveaux d’hormones leptine et ghréline sont perturbés. La leptine, produite par les cellules graisseuses, diminue la faim et augmente la dépense énergétique, tandis que la ghréline, produite par l’estomac, encourage la faim et la formation de graisse. Les troubles du sommeil chez les narcoleptiques peuvent influencer la production de ces hormones.
Les narcoleptiques produiraient plus de ghréline, favorisant ainsi la formation de graisse, et moins de leptine, réduisant la dépense énergétique.
Le surpoids est un facteur aggravant du SAOS. La prévalence du surpoids chez les narcoleptiques pourrait expliquer la fréquence accrue du SAOS parmi eux. Notamment, les femmes narcoleptiques en surpoids ont autant de risques que les hommes de développer un SAOS, alors que, généralement, les hommes sont plus susceptibles d’en souffrir.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]