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Syndrome des Jambes Sans Repos (SJSR)
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Chez les narcoleptiques, dont le sommeil nocturne est souvent perturbé, une polysomnographie (mesure du sommeil) peut révéler la présence de Mouvements Périodiques des Jambes pendant le Sommeil (MPJS). Ces mouvements se traduisent par des flexions répétées et involontaires des jambes et des pieds durant le sommeil. Ces mouvements sont quantifiés par un index qui permet d’évaluer leur sévérité. Souvent, ces mouvements coïncident avec de brefs éveils, conduisant à une impression de sommeil non réparateur qui peut intensifier la somnolence diurne.
Les mouvements périodiques ont des spécificités, en termes de fréquence et de distribution selon les phases de sommeil, qui les différencient de ceux observés chez les patients non narcoleptiques.
Si un narcoleptique montre des mouvements périodiques qui ne correspondent pas à ces spécificités, une autre cause de perturbation du sommeil doit être explorée, notamment la possible présence d’un Syndrome des Jambes Sans Repos (SJSR) ou d’impatiences. Pour contextualiser, 30% de ceux qui ont des mouvements périodiques ressentent également des impatiences. Et inversement, 80% de ceux qui souffrent d’impatiences manifestent aussi des mouvements périodiques durant leur sommeil. Cependant, ces mouvements périodiques peuvent également se manifester indépendamment.
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Autres pathologies : SAOS SJSR
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Quelle est la fréquence du SJSR et comment se manifeste-t-il ?
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Ce syndrome affecte entre 7 et 11% des adultes, avec une prévalence plus élevée chez les femmes que les hommes. Sa fréquence tend également à augmenter avec l’âge. Le diagnostic repose principalement sur des critères cliniques, dont les quatre principaux sont :
- Une envie impérieuse de bouger les jambes, souvent accompagnée de sensations désagréables aux extrémités,
- Une aggravation des symptômes au repos, spécifiquement en position assise ou allongée,
- Une intensification des symptômes le soir et pendant la nuit,
- Un soulagement temporaire ou partiel lors de mouvements, comme marcher ou frotter les jambes.
Les personnes touchées décrivent souvent des sensations inconfortables principalement dans les pieds et les jambes, bien que certaines puissent ressentir des symptômes dans les bras ou d’autres régions du corps.
Ces sensations, qui se manifestent généralement lorsqu’une personne est au repos ou allongée, peuvent être décrites comme des fourmillements, des sensations de brûlure, des décharges électriques ou même des sensations d’irritation. Ces sensations peuvent devenir si gênantes que les patients ressentent une nécessité impérative de bouger leurs jambes ou de se lever pour réduire l’inconfort.
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Quelle est la cause du SJSR ?
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Le SJSR a souvent une origine familiale et pourrait être associé à un déséquilibre du neurotransmetteur qu’est la dopamine. Quelques formes du syndrome peuvent découler d’une carence en fer (en relation avec un déficit en dopamine), de la grossesse ou d’autres maladies telles que le diabète, la polyarthrite rhumatoïde ou l’insuffisance rénale.
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Quelles sont les conséquences du SJSR ?
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La gravité du SJSR varie d’un individu à l’autre, s’étendant d’un léger inconfort occasionnel à des douleurs insupportables quotidiennes. L’impact de ce syndrome dépend de son intensité. Les cas graves de SJSR peuvent :
- perturber le repos,
- entraîner de l’insomnie,
- causer de la fatigue
- affecter la vigilance diurne.
Ces symptômes peuvent pousser certains patients à éviter les situations qui déclenchent les impatiences, comme rester assis ou allongé, en particulier le soir lors d’événements sociaux ou de longs voyages, impactant sérieusement leur vie sociale.
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Faut-il faire des examens complémentaires ?
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Le bilan sanguin aide à écarter certaines causes sous-jacentes du SJSR, telles que le diabète, l’insuffisance rénale ou l’usage de certains médicaments. Lorsque la prise de sang révèle une carence en fer, traiter ce déficit peut atténuer ou même éliminer les symptômes.
Bien que la polysomnographie ne soit pas systématiquement nécessaire, elle est utile pour détecter des mouvements périodiques pendant le sommeil ou pour écarter d’autres troubles du sommeil, comme le syndrome d’apnées du sommeil. Cet examen est recommandé pour les patients narcoleptiques.
En cas d’incertitude diagnostique, d’autres tests comme le doppler veineux des jambes ou l’électromyogramme (EMG) peuvent être réalisés pour distinguer une maladie veineuse ou des complications neurologiques associées à d’autres maladies.
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Quel est le traitement du SJSR ?
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Le traitement du syndrome dépend de sa cause. Il combine des recommandations diététiques et comportementales – telles que pratiquer une activité physique modérée pendant la journée loin des moments propices aux symptômes et éviter la consommation de thé et de café – avec la prescription d’agonistes dopaminergiques pour pallier le manque de dopamine. La supplémentation en fer est spécifiquement destinée à ceux qui présentent une carence en ce minéral.
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SJSR et Narcolepsie
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Aucune étude ne démontre que les narcoleptiques sont plus susceptibles de souffrir du syndrome des jambes sans repos (SJSR) que la population générale.
Néanmoins, il semblerait que les narcoleptiques présentent plus fréquemment des mouvements périodiques lors de polysomnographies comparativement au reste de la population.
On reconnaît que le SJSR peut résulter d’un traitement prolongé par antidépresseurs, notamment les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine. Ces médicaments sont parfois prescrits pour traiter les cataplexies chez les narcoleptiques. De ce fait, un SJSR pourrait émerger ou s’aggraver chez ces patients à la suite de ce traitement, même si initialement il était très léger ou inactif.
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